Maîtresse Lisa aurait pu devenir mannequin, mais elle a décidé de devenir dominatrice, pour le plus grand bonheur du monde des esclaves. Et pas seulement à Anvers, mais aussi à Dubaï et à Londres. Cette belle femme de 173 cm est née en Turquie, a grandi en Allemagne et vit depuis de nombreuses années en Belgique. Elle nous en dit plus sur elle-même et nous donne un aperçu de son univers.
Lady Sas : Chère Lisa, comment es-tu entrée dans le monde du bizarre ?
Maîtresse Lisa : Tout a commencé avec mes fétiches personnels, que je vivais en privé et en tant que membre de la communauté BDSM. Au fil du temps, j’ai reçu des propositions si tentantes et excitantes que je n’ai pas pu refuser, et c’est ainsi que tout a commencé.
Lady Sas : Intéressant. De quel genre de fétiches personnels s’agit-il ?
Maîtresse Lisa : Tout a commencé lorsque mon partenaire de l’époque m’a massé les pieds lors de différentes soirées BDSM.
Lady Sas : Qu’est-ce qui t’excite dans le SM ?
Maîtresse Lisa : J’adore exercer ma domination naturelle et ma supériorité sur la masculinité de mes esclaves. Peut-on rêver mieux ?



Entretien avec Maîtresse Lisa
Lady Sas : Que préfèrerais-tu abandonner ? Le SM ou ton téléphone portable ?
Maîtresse Lisa : Mon téléphone portable.
Lady Sas : Anvers, Dubaï, Londres. Tu voyages dans le monde entier en tant que maîtresse. Pourquoi ?
Maîtresse Lisa : J’aime voyager et sentir sous mes talons des hommes de cultures différentes. Et je ne nie pas que j’apprécie le frisson de l’anticipation des hommes lorsque je planifie et annonce mes voyages.
Lady Sas : Comment pouvons-nous imaginer la différence entre vos clients à Anvers, Dubaï et Londres ?
Mistress Lisa : C’est extrême ! À Dubaï, tout se passe derrière des portes closes, mais en même temps, c’est plus expérimental. En Angleterre et en Allemagne, la domination classique est plus appréciée, tandis qu’en Belgique et aux Pays-Bas, c’est plus pervers.
Lady Sas : Je ne connais Dubaï que par l’aéroport. Est-il dangereux pour une femme de dominer un homme là-bas, même s’il s’agit seulement d’un jeu de rôle ?
Mistress Lisa : Absolument. Mais c’est peut-être ça qui fait tout le charme…
Lady Sas : Quelle est la plus grande impression ou surprise que tu aies eue en tant que dominatrice lors de vos voyages ?
Mistress Lisa : Les préférences des hommes sont similaires, ce qui n’est pas forcément évident avec toutes ces cultures différentes !
Maîtresse Lisa, Anvers
Maîtresse Lisa est une dominatrice haut de gamme en Europe. Elle est spécialisée dans le fétichisme des pieds, l’adoration du corps, la fessée et le BDSM.

Maîtresse Lisa à propos de Fetish-Dreams
Lady Sas : Quels sont les fétiches les plus recherchés parmi tes clients ?
Fetishlady Lisa : Le plus courant est la soumission classique. L’érotisme des pieds est très apprécié, suivi de près par les jeux anaux et le NS.
Lady Sas : Tu as une silhouette incroyable. Comment fais-tu ?
Fetishlady Lisa : Je mène une vie très saine et j’aime beaucoup faire de l’exercice.
Lady Sas : Quel genre de sport pratique-tu? Ou comment fais-tu de l’exercice ?
Fetishlady Lisa : La salle de sport et le fouet 😉
Lady Sas : Quand considère-tu qu’une séance est réussie ?
Fetishlady Lisa : Quand un esclave a cette lueur particulière dans les yeux (ou peut-être des larmes) et qu’il ne sait pas s’il doit rire ou pleurer de désir.
Lady Sas : As-tu un conseil pour les jeunes dominatrices ?
Fetishlady Lisa : Allez dans un bon studio et formez-vous. Au début, il y a tellement de choses qui peuvent mal tourner. Aujourd’hui, beaucoup de femmes pensent que le simple fait d’avoir un fouet fait d’elles des dominatrices. Cela m’inquiète. Pourquoi n’existe-t-il pas de licence de dominatrice ? Dans le domaine clinique, c’est très délicat, et l’utilisation des fouets et des outils doit s’apprendre ! (LA SÉCURITÉ AVANT TOUT)
Lady Sas : Quels sont tes projets pour l’avenir ?
Fetishlady Lisa : Je vais prendre les choses comme elles viennent et profiter de chaque jour !
Lady Sas : Merci pour cette interview, Lisa.
Ne manquez aucune interview et inscrivez-vous à la lettre d’information.